Causer
en cohérence, voit les perspectives individuelles s’ouvrir de façon pas si
simple, où l’Individu n’est pas rien, où la Vie possède un certain
mordant !
J’étais un joli petit Cygne qui ne pensait
qu’aux Cygnes ; devenu grand j’ai vécu quelques parts de rêve, où au pays
des rêves naît l’ambiguïté…
Il
est évident qu’une certaine dualité s’impose, sur cette planète beaucoup de
choses fonctionnent par dualité ; où les grandes questions : d’où
venons nous ? Où sommes nous ? Où allons nous ? Tout cela est chemins en sentiers
d’information : telle une danse des acquis aux pleines couleurs de
l’esprit :
Matérielle…
génétique… biologique… voire psychologique !
De causes en effets
© Jean Pierre Luminet
Les esquifs de la logique ?
Mes desseins s’étendent sur ces pages blanches aux contours des
esquifs de la logique, dépeignant ce tableau aux lumières bleutées portant ces
oiseaux, des comme des voiliers ; poésie incidente en compréhension,
voyant la Terre se frayer un sentier parmi la voie lactée :
J’ai croisé une petite femme à un arrêt de bus, elle avait un
violoncelle presque aussi grand qu’elle ; alors que je regardais l’objet,
elle introduisit la conversation : « c’est lourd à
porter » ; peu importe l’évidence, je rétorquais : « cela
me fait penser à la théorie M ; celle des cordes. »
« Pardon ? » « Oui il y a généralement différents, voire
l’on-dit souvent 7 reflets de la réalité ; un peu comme 7 miroirs la
reflétant, cette violoncelliste dont on est à la recherche ! » Elle
m’aura répondu : « j’aimerais bien apprendre ça à
l’école… » ; « ça m’étonnerais que t’apprenne cela à
l’école ! » Plus tard dans le bus, je lui dirais en sortant à l’arrêt
Chalet : « si tu souhaites avoir un entr’aperçu de ce que je te raconte,
tu devrais te renseigner à l’adresse : quels temps font-ils il s’agit d’une histoire du
temps qu’il fait, du temps qui passe ! »
Mon Diou, où te
caches-tu ?
À l’évidence dans le bleuté du Ciel !
Au cours des Temps cosmologiques, la matière, la
Vie, la conscience, tout cela suivent leurs propres chemins en sentiers, qui
souvent sont lobés, biaisés, dans le but de parvenir à leurs fins ; où
notre conception de la réalité, n’a de cesse d’évoluer…
Comment raconter ?
Au crépuscule, cette zone de pénombre précédente ou
suivante à la nuit, vu de créatures d’il y a la nuit des temps : comme les
limules, les iguanes en bord d’Océan les nuages pourraient se teinter de feu,
une trainée d’apocalypse s’en suivre, fusant dans le ciel… Sauf que n’est là
qu’un référentiel qui diffère en un pas de plus vers l’espace, vu d’une plage
de Kourou en Guyane française…
Film de Jacques Perrin
Le symbolisme du Cœur ?
Le Cœur rime beaucoup ; mais plus l’on s'en
approche, et plus c'est complexe… avec le Ciel… avec les langues portant leurs
paroles… avec les frontières… et les couples au cœur de leurs foyers avec leurs
petits mondes tout autour !
Et oui, tout ça au
creux de toutes ces structures sociétaires sans lesquelles nous ne vivrions pas
le nombre que nous sommes sur cette planète, et même si c’est très loin d’être
un idéal : Je suis convaincu que des gens qui ont des convictions envers
la biodiversité, des gens qui parlent en termes humains, il y en a une grande
majorité…
© Jo & Fred Vargas